L'Equipe CEMM cherche à dynamiser son fonctionnement pluridisciplinaire et à rassembler l'activité des chercheurs et des doctorants autour d'une thématique commune qui servirait de fil conducteur au Séminaire mensuel pour les années universitaires 2018-2019 et 2019-2020.

Le thème retenu, Origines et fondations des œuvres et des institutions au Moyen Âge. Orient-Occident, VIe-XVe siècle (Histoire, Histoire de l'Art, Littérature, Musicologie), devrait permettre aux collègues et aux doctorants de l'équipe, ainsi qu'à des invités, de confronter leurs travaux et leurs démarches autour d'un questionnement commun.

Les interventions au Séminaire du CEMM se tiennent le jeudi après-midi, de 14h à 17h. Dans le cas où plusieurs propositions aborderaient un thème commun, il serait possible de les regrouper en une journée d'étude, éventuellement décalée au vendredi ou au samedi. Le CEMM pourra prendre en charge, en totalité ou en partie, ou non, les frais de transport et éventuellement de séjour à Montpellier, selon les capacités de participation de l'institution d'origine des intervenants.

L'équipe envisage pour l'instant de publier en un recueil, au bout des deux ans, les contributions les plus significatives, à condition qu'elles forment un ensemble scientifiquement cohérent.

Le CEMM invite donc l'ensemble des chercheurs, titulaires et doctorants, à soumettre leurs propositions (thème/titre provisoire de l'intervention, dates possibles et/ou période envisagée, y compris pour 2019-2020), d'ici le 15 novembre 2018, à Thomas Granier : thomas.granier@univ-montp3.fr.

Pour consulter l'appel à communications complet, cliquez sur ce lien.

Dans le sillage du numéro « Le Moyen Âge pour laboratoire » (Fabula LHT, n°20, janvier 2018), cet atelier entend poursuivre le questionnement qui l’animait : comment la littérature médiévale nous aide-t-elle à faire de la théorie littéraire autrement ?

L’atelier, organisé par Florent Coste (Université de Lorraine), Nathalie Koble (ENS Paris) et Amandine Mussou (Université Paris Diderot), suivra un rythme mensuel : les séances se tiendront un jeudi par mois de 16h30 à 18h30 à l’Université Paris Diderot‑Paris 7 et à l’ENS Paris. Chaque séance fera entendre un ou deux intervenant(s) et sera animée par un ou deux discutant(s).

Carnet de recherche de l'atelier sur Hypothèses : https://medielab.hypotheses.org

Pour lire la présentation complète de l'atelier et de ses objectifs, cliquez sur ce lien.

Pour consulter le calendrier des séances, cliquez sur ce lien.

Élodie Burle-Errecade et Valérie Gontero-Lauze (dir.)

Le Manuscrit unique. Une singularité plurielle

Paris, Sorbonne Université Presses, 2018

Œuvre dont il ne reste qu’un seul exemplaire, le manuscrit unique nécessite, pour les médiévistes, une adaptation et une façon. On peut même partir de l’affirmation que tout manuscrit médiéval est unique, en tant qu’objet d’art (objet-livre et recueil d’enluminures) et version originale d’un texte (et ce jusqu’à l’invention de l’imprimerie). Cet ouvrage le démontre, l’unicité du livre est pour cette époque à la fois commune – le manuscrit dans sa forme même de copie est toujours unique – et singulière, dans les questions de production, de lecture et de réception qu’elle continue indéfiniment de poser. Électron libre d’une hypothétique tradition, le manuscrit dit "unique", souvent mystérieux et problématique, ouvre la voie à une riche réflexion dont les textes ici rassemblés sont un reflet.

Le manuscrit unique interroge en premier lieu la réception : pourquoi une œuvre nous est-elle parvenue dans un seul manuscrit ? Est-ce à dire que nous avons failli ne jamais la connaître (comme certaines œuvres de Chrétien de Troyes, dont nous ne connaissons que le titre) ? Le manuscrit unique introduit corollairement des problèmes d’édition. L’objet-livre médiéval, lorsqu’il est la source unique dont nous disposons, ne nous est pas forcément familier et demande un travail de lecture et d’interprétation spécifiques. C’est la question de l’intertextualité qu’ouvre pour nir le manuscrit unique. Comment lire ce texte, sinon à la lumière d’autres œuvres ? Les éditions de textes conservés dans un manuscrit unique s’attachent-elles généralement à retrouver les topoï du genre, à établir des comparaisons et des rapprochements avec des textes similaires et/ou contemporains ?

Le volume Le Manuscrit unique est issu du colloque de la SLLMOO qui s'est tenu à l'Université d'Aix-Marseille en septembre 2010.

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Jean-Michel Gouvard et Florence Plet

Copies corrigées du CAPES - Langue française

Paris, Ellipses, 2018

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Les Prologues au Conte du Graal, éd. Hélène Bouget

Par Patrick Moran, le 18 septembre 2018Lire la suite

Les Prologues au Conte du Graal

Élucidation, Bliocadran, L'Elucidation de l'hystoire du Graal (1530)

Édition d'Hélène Bouget

Paris, Classiques Garnier, 2018

L'Élucidation et le Bliocadran, les deux prologues au Conte du Graal de Chrétien de Troyes, sont conservés dans le cycle du Graal en vers du manuscrit de Mons. L'ouvrage offre une édition de ces deux récits et de la version en prose de 1530 avec une étude du contexte manuscrit et littéraire.

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