Christine de Pizan, Le Livre des épîtres du débat sur le Roman de la Rose, trad. Andrea Valentini, Paris, Classiques Garnier (« Moyen Âge en traduction », 12), 2022, 190 p.

Date de parution : 28 septembre 2022

ISBN : 978-2-406-13226-4

Ce volume contient la traduction en français moderne des lettres que Christine de Pizan a écrites en 1401-1402 au cours du débat sur le Roman de la Rose, dont elle critique la misogynie et l’obscénité. Les autres pièces du débat sont traduites en annexe.

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Le XIVᵉ Congrès de l'Association internationale d'études occitanes aura lieu du 11 au 16 septembre 2023 à l'université Louis-et-Maximilien de Munich.

Les propositions de communication peuvent être envoyées jusqu'au 16 décembre 2022.

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Les deux premières séances du séminaire ERC AGRELITA se tiendront à Lille les 14 novembre et 5 décembre 2022.

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Littérature urbaine. Donnée culturelle médiévale ou concept de l'histoire lttéraire ?, dir. Ludmilla Evdokimova et Françoise Laurent, Paris, Classiques Garnier (« Rencontres », 548), 2022, 607 p.

Date de parution : 21 septembre 2022

ISBN : 978-2-406-13248-6

Loin de se contenter de refléter l’image des villes, la littérature urbaine tire son origine d’une tradition antérieure et, dans le même temps, touche à ce qui lui est contemporain, jusqu’à se faire porteuse d’une poétique et de données culturelles et sociales dont la Renaissance sera l’héritière.

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Chrétien de Troyes, Érec et Énide, éd. et trad. Bénédicte Milland-Bove et Vanessa Obry, Paris, Champion (« CCMA », 56), 584 p.

Date de parution : 22 septembre 2022

ISBN : 9782380960426

La cour du roi Arthur réunit les meilleurs chevaliers autour de sa Table Ronde et de son couple de souverains. Mais comment garantir l’harmonie et la bonne entente parmi des guerriers qui revendiquent tous d’être le meilleur et l’ami de la plus belle ? Plutôt que de se poser en rival du roi, Erec, fils du roi Lac, place la jeune femme qu’il a conquise par sa bravoure dans l’orbe symbolique d’Arthur et de Guenièvre. Mais l’histoire ne s’arrête pas au mariage des deux jeunes gens, et c’est ensemble qu’Erec et Enide découvriront la Joie de la Cour.

Erec et Enide, que Chrétien de Troyes signe fièrement dans son prologue, est à plusieurs titres une œuvre inaugurale. Écrite sans doute vers 1170, elle marque le déploiement romanesque de l’univers arthurien, met au point les techniques du roman d’aventure et prend soin de se distinguer des productions contemporaines pour souligner la subtilité de son écriture.

Le lecteur d’aujourd’hui y retrouvera les éléments de la légende arthurienne qui lui sont devenus familiers mais il pourra également en apprécier la singularité. Même si l’ironie de Chrétien vient parfois appeler à une discrète distance, tout paraît encore possible, dans l’euphorie de disposer un monde riche d’histoires à venir : un mariage qui trouve le bonheur dans la durée, un jardin où le mot « joie » reprend sens, une cour où rois, chevaliers mais aussi artistes et poètes, peuvent trouver leur place, dans la célébration de fêtes qui soudent la communauté.

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