Présentation

Par Patrick Moran, le 17 septembre 2025Lire la suite

La Société de Langue et de Littérature médiévales d'Oc et d'Oïl réunit les enseignants de l'enseignement supérieur et les chercheurs français et étrangers spécialistes de ce domaine. Elle a plusieurs missions :

  • développer et établir des contacts entre médiévistes littéraires et linguistes, en favorisant l’échange d’informations au niveau national et international ;
  • encourager toute initiative tendant au développement des études médiévales (langue et littérature d’oc et d’oïl) au sein de l’université et en dehors ;
  • stimuler la recherche, l’enseignement et la vulgarisation dans ces disciplines ;
  • diffuser la recherche et les travaux des jeunes chercheurs.

À cette fin, le site conjointures.org propose un annuaire des membres, des informations mises à jour régulièrement (annonces de colloques, publications, informations officielles sur les postes et l’actualité ministérielle), un fichier des thèses et des documents bibliographiques à destination de l’enseignement secondaire.

Elle publie par ailleurs la revue Perspectives Médiévales, qui est accessible depuis l’automne 2012 sur le portail revues.org et co-organise avec l’université qui reçoit son Assemblée Générale un colloque, publié entre 2010 et 2019 par les Presses Universitaires de Paris-Sorbonne et, depuis 2021, en ligne sur le site des ressources en ligne de Librairie Droz.

Les médiévistes ayant un travail d'édition en cours peuvent le signaler à la section romane de l'IRHT via le lien ci-dessous : https://romane.hypotheses.org/travaux-dedition-en-cours

Pour adhérer à la SLLMOO, vous pouvez contacter sa trésorière, Clotilde Dauphant. L'adhésion pour une année civile est de 30 € (10 € pour les doctorants) et le règlement peut se faire par chèque ou par virement.

Pour publier une annonce (sur une manifestation scientifique, une parution, un appel à contributions, etc., ou pour demander la mise à jour ou la création de votre page d’adhérent), vous pouvez contacter le webmestre de la Société, Yoan Boudes.

Offre de poste : Professeur-e ordinaire / associé-e (Genève)

Par Yoan Boudes, le 17 septembre 2025Lire la suite

La Faculté des lettres de l'Université de Genève met au concours un poste de professeur-e ordinaire ou professeur-e associé-e en littérature française du Moyen Âge.

Les renseignements se trouvent : au lien suivant. Le délai de candidature est prévu jusqu'au 31 octobre 2025.

Le colloque international « Soft matters. Poésies textiles, jadis et aujourd’hui », organisé par Nathalie Koble (École normale supérieure-PSL, Item), Amandine Mussou (Université Paris Cité, Cerilac) et Marion Uhlig (Université de Fribourg) aura lieu à Paris le jeudi 25 septembre à l'Université Paris Cité (salle Pierre Albouy) et le vendredi 26 et samedi 27 septembre à l'École normale supérieure (Salle des Actes et Salle historique de la bibliothèque). Il est organisé en partenariat avec l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs et le Musée de Cluny-Musée national du Moyen Âge

Retrouvez l'ensemble du programme et toutes les informations sur le site de l'Item.

Techniques ancestrales qu’on retrouve dans toutes les cultures, la tapisserie et les travaux d’aiguilles entretiennent avec la composition poétique (religieuse ou profane, traditionnelle ou expérimentale, collective, anonyme ou signée) des relations étroites qui dépassent amplement la métaphore évidente portée dans l’Antiquité latine par le mot textus – saisie de fils entrelacés –, ou bien par les images courantes empruntées au lexique du textile (trame, fil, chaîne, nœud, points, tresses, etc.) dans de nombreuses langues pour parler de poésie et de fiction. De Pénélope au craftivism contemporain, de Philomèle aux slogans brodés d’Annette Messager, de la poésie combinatoire sur brocart de soie de Su Hui aux silk poems de Jen Bervin, en passant par les chansons de toiles médiévales, l’héritage des quipus incas ou encore les poèmes hindis de Kabîr le tisserand, des poétesses, poètes et poèmes textiles redessinent, chacun.e dans son contexte propre, les contours de la poésie en déplaçant ses modalités d’expression, ses techniques, ses supports, ses conditions de production et de diffusion, son rapport au langage et au monde.

Entre pratique artisanale traditionnelle et poésie d’avant-garde, figuration et abstraction, poésie muette ou chantée en tissant et geste politique émancipateur, activité privée, confinée dans l’espace domestique, et production collective liée à l’exercice d’un métier, pratique contrainte ou méditation cadrée, les poèmes au fil font de la poésie un art hybride, qui mobilise le corps et sollicite la mémoire, à l’écart du livre. Poèmes visuels, mais aussi tactiles, tissés, brodés ou tricotés, ils sont liés à des objets uniques, ce sont en quelque sorte des manuscrits d’un genre spécifique. Les supports utilisés (tissus ou peaux) engagent par ailleurs une composante animale ou végétale qu’on retrouve dans les figures mythologiques associées à l’invention des arts textiles : araignées, chauves-souris, rossignols, vers à soie… Le poème se fabrique ainsi en mobilisant le vivant dans sa diversité. Enfin, inscrit dans des pratiques qui en contextualisent les usages, il est motivé par des enjeux multiples, qui conditionnent son rapport à l’espace, par sa circulation, sa taille (du poème au microscope à l’œuvre monumentale), son lieu d’exposition (chambres, musées, espaces publics, mais aussi corps, vêtements, boîtes en tous genres) : poésie de circonstance accompagnant un rituel festif, formules magiques, objets ornementaux ou symboliques, dons ou signes de reconnaissance, œuvres expérimentales, slogans politiques pouvant être rapidement déployés, poèmes militants… Tous mettent toutefois en lumière le pouvoir suggestif de cette écriture visuelle sur matériau souple, jouant de plis et de replis, langage codé et concret qui se confronte à la douceur et garde en mémoire aiguilles, épingles et fuseaux - invite à la rêverie ou pousse à la révolte. Soft matters…

Le colloque explorera, dans une perspective matérielle et transmédiale, cette relation complexe entre poésie et pratiques textiles dans des œuvres poétiques et visuelles qui la travaillent de manière explicite, des périodes les plus anciennes jusqu’à l’extrême contemporain, et dans diverses aires géographiques et culturelles. Il se situe dans le prolongement de plusieurs livres collectifs sur la poésie visuelle au Moyen Âge et aujourd’hui et d’un séminaire de littérature consacré pendant trois ans à la poésie textile dans différents corpus.

Les communications entrecroiseront les disciplines et les approches du texte poétique et des œuvres textiles. Elles porteront en priorité sur les textiles qui contiennent ou renvoient à un texte poétique et se définissent comme des poèmes (haiku d’Anni Albers, glossolalia de Sheila Hicks, ode à l’oubli de Louise Bourgeois…), ou bien à l’inverse, sur des œuvres poétiques qui réfléchissent la pratique et la signification des arts du textile et inscrivent la poésie dans une histoire du craftivism. Pour appréhender la signification de ces œuvres hybrides et de ces références croisées, leurs contextes de production et de diffusion, leurs poétiques et leurs usages, il sera nécessaire de diversifier les savoirs et les pratiques : des spécialistes en histoire des textiles, philologie et histoire des corpus poétiques, esthétique, anthropologie et sociologie, archéologie, mais aussi études de genre et histoire du féminisme, écopoétique, subaltern studies seront invité.es à partager leurs perspectives autour de ce sujet transdisciplinaire. Seront aussi associé.es des poètes, des artisans et des artistes, à l’occasion d’expositions, de performances et d’entretiens.

Le colloque « La réception de la Grèce ancienne en Europe par le dialogue entre textes et images dans et hors du livre (XIVe-XVIe siècle) » aura lieu les 18 et 19 juin 2026 à l'Université de Caen Normandie dans le cadre de l'ERC Advanced Grant AGRELITA.

Ce colloque propose d’explorer la réception littéraire, artistique et culturelle de la Grèce ancienne au prisme des relations entre les textes et les images en Europe, du XIVe au XVIe siècle. Comment associe t-on les différentes formes du visuel et du textuel dans ce contexte ? Comment l’alliance entre le texte et l’image a-t-elle été intégrée dans les processus de la réception de la Grèce ancienne au sens large du terme défini par Lorna Hardwick, c’est-à-dire à la fois la réception de ses savoirs et de ses textes, et l’élaboration de représentations de la Grèce ancienne ? Qu’apporte la collaboration de la création littéraire et de la création visuelle aux différentes formes de la réception de la Grèce ancienne ? Quels aspects de l’Antiquité grecque, réelle ou imaginée, sont particulièrement mis en valeur grâce au dialogue entre les textes et les images dans les oeuvres littéraires, historiques et philosophiques ? Le colloque portera sur le dialogue entre les textes écrits en Europe du XIVe au XVIe siècle (éditions, traductions et commentaires d’oeuvres grecques antiques, mais aussi nouveaux textes littéraires, historiques, philosophiques, didactiques) et les images.

Le colloque est organisé par Catherine Gaullier-Bougassas (Professeure des universités en langue et littérature médiévales françaises et Principal Investigator), Julie Labregère (post-doctorante), Giulia Parma (post-doctorante) et Lorène Bellanger (Project Manager).

Les propositions de communication, en français ou en anglais (titre et résumé de 200-300 mots), sont à adresser, accompagnées d’un bref CV, au plus tard le 15 décembre 2025 aux adresses suivantes : catherine.gaullier-bougassas@unicaen.fr et lorene.bellanger@unicaen.fr.

Après examen des propositions, l’acceptation sera notifiée vers le 15 janvier 2026. Les frais de déplacement et d’hébergement seront pris en charge selon les modalités de l’Université de Caen Normandie.

Les actes du colloque seront publiés dans la collection « Recherches sur les Réceptions de l’Antiquité » de Brepols (https://www.brepols.net/series/RRA). Les articles proposés devront être inédits.

Retrouvez toutes les informations et l'appel à communication complet sur le carnet Hypothèses du projet ERC.

Dans le cadre du projet FabuLab, un poste d'ingénieur·e d’études pour un contrat à durée déterminée de trois mois, à partir du 5 janvier 2026 est créé. Le poste porte sur l’édition numérique de textes médiévaux et s’adresse à des candidats titulaires d’un Master.

Quelques informations sur le poste :

  • Intitulé du poste : Ingénieur·e d’études en édition numérique de textes médiévaux, CDD
  • Lieu : IRHT (au choix Aubervilliers-Campus Condorcet ou Orléans) ou Université de Lille ; télétravail possible
  • Durée : 3 mois
  • Date de début : 5 janvier 2026
  • Quotité : Temps plein (100 %)
  • Rémunération : 2103 € net mensuel

La mission se déroule dans le cadre du projet exploratoire FabuLab (financement Biblissima+), dirigé par Joana Casenave. FabuLab se fonde sur le corpus de l’Isopet 1-Avionnet, recueil de fables ésopiques daté de la fin du XIIIe - début du XIVe siècles. Il constitue la première étape de l’élaboration d’une édition numérique de ce corpus et propose de réfléchir aux modalités d'indexation fine des textes et des images et aux parcours de lecture qu’ils permettront de développer dans le corpus. En se basant directement sur les modes et les objets d'indexation du corpus, ces parcours de lecture offriront des accès variés aux textes (édition diplomatique, édition critique, parcours thématiques, rhétoriques, narratifs, diachroniques). L'objectif est de développer des outils analytiques et de faire dialoguer les données et métadonnées du corpus avec les entités et les référentiels de Biblissima+.

Missions : L’ingénieur.e d’études sera chargé.e de l’édition numérique de fables médiévales (corpus de l’Isopet I-Avionnet). Missions : travail de relecture des transcriptions des textes, encodage des textes selon les standards XML/TEI (Text Encoding Initiative), indexation thématique, rhétorique, narrative et iconographique en lien avec les objectifs du projet, alignement des données textuelles et iconographiques avec des référentiels existants (Biblissima+, Vocabulaires de l’IRHT, etc.), participation à des réunions de travail et échanges avec l’équipe projet.

Compétences :

  • Savoirs / connaissances : Maîtrise du moyen français ; Connaissances en paléographie médiévale ; Connaissance des outils d’analyse littéraire (narratologie, rhétorique) ; Bonne compréhension des principes d’encodage XML/TEI ; Notions en édition critique et édition numérique ; Sensibilisation aux Humanités numériques et aux vocabulaires contrôlés.
  • Savoir-faire : Transcrire fidèlement des textes médiévaux à partir de sources manuscrites ; Encoder avec précision selon les recommandations XML/TEI (et adapter les balises selon les besoins du projet) ; Indexer des textes en lien avec des référentiels thématiques, narratifs ou iconographiques ; Manipuler des outils numériques d’édition (ex : oXygen XML) ; Rechercher et intégrer des alignements avec des entités existantes (URI, référentiels, autorités).
  • Savoir-être : Rigueur et précision dans le traitement des données textuelles et manuscrites ; Sens de l’organisation et autonomie dans la gestion du temps ; Appétence pour les humanités numériques ; Capacité à collaborer au sein d’une équipe pluridisciplinaire ; Ouverture à l’expérimentation et aux méthodes exploratoires.

Candidatures (CV + lettre de motivation) à envoyer avant le 18 août 2025 à Joana Casenave (joana.casenave@univ-lille.fr), Emmanuelle Kuhry (emmanuelle.kuhry@irht.cnrs.fr) et Marie- Laure Savoye (marie-laure.savoye@irht.cnrs.fr).

Voir l'annonce sur le site de Biblissima+.

Un colloque « Malheurs du corps épique – figuration, symbolisation (Antiquité, Moyen âge, Renaissance) » aura lieu les 18 et 19 juin 2026 à l'Université d'Orléans (Centre International Universitaire pour le Recherche – Hôtel Dupanloup).

Organisation : Pierre-Alain Caltot, Philippe Haugeard et Nicolas Lombart

Argumentaire

Portant sur des sources littéraires, le colloque entend étudier ou interroger les représentations du corps épique mis à mal, de l’Antiquité à la Renaissance. Les communications pourront s’inscrire dans telle période exclusivement ou assumer une démarche plus diachronique, en comparant par exemple des œuvres appartenant à des périodes différentes – antique, médiévale ou renaissante. La bibliographie (voir ci-dessous) impose le double constat suivant : 1) l’anthropologie historique a permis aux représentants de la Nouvelle Histoire de baliser la bibliographie d’études déjà solides participant d’une histoire du corps, en particulier depuis les années 2000. Ce renouveau des analyses et des objets historiques a imposé de nouveaux outils de recherche, pour la plupart limités à telle ou telle période. 2) Les études littéraires, pour leur part, ont surtout souligné la valorisation intrinsèque au corps du héros épique, corps glorieux ou lumineux, véritable « corps de transfiguration », qui, révélant des qualités morales hors du commun, s’affirment à travers un parcours exemplaire d’épreuves qualifiantes. Or, dès ses actes fondateurs, le genre épique fait coexister, à côté d’Achille, Thersite dans l’Iliade (II, 213-224 pour son portrait). Avec ce personnage, le poète homérique semble associer veulerie morale, laideur hideuse et bassesse sociale, au point que Thersite devient l’emblème d’un autre corps épique. Derrière cette figure, exemplaire d’une diversité des personnages épiques, nous souhaitons interroger les malheurs du corps épique, que ce soit sur le champ de bataille où l’intégrité du corps épique est interrogée, ou en dehors des combats : pourront alors être analysés les corps épiques vieillissants, éprouvés, marginalisés. Les propositions de communication pourront s’inscrire, sans exclusive, dans l’un des axes suivants (les exemples cités proviennent de l’épopée antique mais trouveront des analogues dans les textes du Moyen Âge et de la Renaissance) :

– Malheurs du corps sur le champ de bataille : les supplices et les agonies du corps blessé et souffrant, véritable corpus dolens, peuvent apparaître comme autant de miroirs inversés du corps héroïque. Quels usages l’épopée propose-t-elle de la description des corps vulnérables ? On pourra ainsi envisager ses fonctions narratives – comment l’assassinat de Patrocle relance-t-il l’intrigue de l’Iliade ? – ; stylistiques – le recours à l’hypotypose dans l’acharnement contre les corps dans la Pharsale de Lucain – ; ou encore son rôle dans la construction du personnel héroïque – l’importance de la mort de Pallas dans la définition d’un héroïsme propre à Énée dans l’Énéide.

– La dégradation des corps défaits ou vaincus constitue autant d’humiliations qui contreviennent au code de valeurs – morales, religieuses, politiques – que l’épopée affirme par ailleurs. De tels passages peuvent alors interroger directement l’épopée comme code générique. En arrière-plan se pose ainsi la question de la représentation des (contre-)modèles que l’épopée élabore. C’est ainsi que l’insistance sur le corps et les fonctions corporelles des prétendants de Pénélope dans l’Odyssée contribue à en faire des antithèses du héros tandis que la galerie des tyrans, modèles inversés du roi juste et pieux, que proposent les épopées (Mézence dans l’Énéide ; Capanée dans la Thébaïde de Stace…) travaille de l’intérieur la normativité épique, y compris dans son rapport au corps social.

– Des malheurs, nous passons aux défauts ou aux passions épiques qui affectent et gâtent le corps des personnages épiques, la mollesse, la paresse, la peur confinant parfois à la couardise constituent autant de manquements par rapport au comportement attendu pour le héros et son rang. De ce point de vue, la présence de personnages a priori étrangers aux valeurs héroïques dans l’épopée pourra être interrogée, par exemple pour leur âge – vieillards –, ou pour leur modestie sociale – marginaux et mendiants, comme Ulysse dans les derniers chants de l’Odyssée. Dans les Métamorphoses, Ovide propose une épopée du corps changeant, envisageant entre autres la dégradation des corps héroïques vers une animalisation ou une réification.

Les propositions de communication, accompagnées d’un résumé ou d’un argumentaire d’une vingtaine de lignes, sont à adresser avant le 15 décembre 2025 aux trois adresses suivantes : pierre-alain.caltot@univ-orleans.fr, philippe.haugeard@univ-orleans.fr et nicolas.lombart@univ-orleans.fr.

Le XVIIIe Congrès de la Société Internationale de Littérature courtoise aura lieu du 20 au 24 juillet 2026 à l'Université Paul-Valéry Montpellier III. Après une réflexion portant sur « Redéfinir la courtoisie » en 2023, le XVIIIe congrès propose cette fois de s’interroger sur la notion de « Savoir courtois ».

Si la notion d’amour courtois, inventée par Gaston Paris en 1883 mais absente des textes médiévaux qui évoquent en revanche la fin’amor, est controversée, l’adjectif courtois et ses dérivés, courtoisie, courtoisement abondent dans la littérature d’oc et d’oïl, véhiculant l’idée d’une maîtrise, d’une compétence ou d’un savoir. Mais quels sont ces savoirs qu’implique la notion de courtoisie ? Que faudrait-il connaître ou maîtriser pour être courtois ? Plus généralement, quels sont les liens entre courtoisie et connaissance ?

Vous pourrez trouver sur le carnet Hypothèses de la branche française l'appel à communication intégral.

Nous vous invitons à envoyer vos propositions de 200 mots maximum, pour des communications de 20 minutes en anglais ou en français, avant le 30 octobre 2025 à l’adresse suivante : silc_montpellier_2026@univ-montp3.fr.

Nous acceptons aussi les propositions de sessions thématiques à trois ou quatre participants.

Organisateurs : Valérie Fasseur, Catherine Nicolas et Mathias Sieffert.

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